Bienvenue Le Forum du Stade de Reims
espace d'échange indépendant
Vu des Tribunes
L'Actualité
 Bienvenue Invité ( Connexion | Inscription )

Aide | Recherche | Membres | Calendrier

Pages: (2) 1 [2]   ( Aller vers premier message non lu )
Carlos Bianchi
« Sujets Anciens | Sujets Récents » Suivre ce sujet | Envoyer ce sujet | Imprimer ce sujet
lrunner
Ecrit le: Tuesday 27 June 2023, 18:35


Pilier du forum


Messages: 1034
70 ans
Sexe : Masculin
Supporter depuis les années 60
Supporter en Méano inf (13)




Merci Eric ça donne la chaire de poule heureux les gens comme moi qui l'on vu jouer et mettre en autre 6 buts aux joueurs du P.S.G;;;;;et bien d'autres ensuite un grand Monsieur Carlos yes.gif
 
    Top
C.THOMAS
Ecrit le: Sunday 02 July 2023, 12:47


Pas Inscrit



2024 ans




CITATION (ERIC.B @ Monday 19 June 2023, 18:52)
Football - Il y a 50 ans, Carlos Bianchi débarquait au Stade de Reims !

Il y a 50 ans, l’attaquant argentin Carlos Bianchi débarquait dans la Marne grâce au savoir-faire du recrutement rouge et blanc, symbolisé par le discret et efficace Robert Marion.

l y a 50 ans, Robert Marion rentrait d’un voyage en Argentine avec le sentiment du devoir accompli. Le trésorier-recruteur du Stade de Reims était accompagné d’un buteur argentin, Carlos Bianchi, 24 ans, appelé à remplacer un autre au passeport italien, Delio Onnis, 25 ans.

Le 16 juin 1973, le public de Delaune allait découvrir la vedette sud-américaine à l’occasion de la Coupe des Alpes face au FC Bâle et au Servette de Genève. En deux matches, la recrue arrivée de l’Atlético de Vélez Sarsfield allait inscrire deux doublés. La légende Bianchi était en marche.

En s’envolant pour le continent sud-américain, Robert Marion s’est vu confier un ordre de mission clair et précis. Il s’agit de trouver le remplaçant de Delio Onnis qui, malgré un grand nombre de buts inscrits depuis son arrivée dans la cité des sacres en septembre 1971 (39 buts en 65 matches de Division 1), ne fait pas l’unanimité avec son profil trop exclusivement « renard des surfaces ». Grâce à l’aide financière conséquente d’une municipalité espérant voir renaître le prestige de la ville à travers un club à vocation européenne, le président Henri Germain veut dénicher un attaquant complet.

Sur place, en Argentine, Robert Marion retrouve Rafael Santos. Cet intermédiaire est un ancien joueur du championnat de France entre 1962 et 1972 (Nantes, Nice, Avignon, Cannes). Son passé d’attaquant lui a permis de viser juste : Carlos Bianchi, insatiable buteur de Velez Sarsfield, qui aspire plus que jamais à jouer à l’étranger. Les deux hommes ont commencé à discuter mais Bianchi veut rencontrer un dirigeant avant de s’engager. C’est la raison du voyage de Robert Marion à Buenos Aires. Comme le précise le joueur, les discussions ne sont ni longues, ni compliquées. Marion est d’autant plus enclin à valider les demandes de Bianchi que ce dernier réussit sous ses yeux un triplé contre San Lorenzo (4-1).

En outre, ses exigences sont accessibles à un Stade de Reims bénéficiant de la fermeture des frontières italiennes et de la timide réouverture de la Liga espagnole aux joueurs étrangers (à cette époque-là, le football anglais ne s’intéresse pas encore au reste du monde).

Toutefois, les échanges se tendent un peu lorsqu’il s’agit de trouver un accord définitif avec les dirigeants de Velez Sarsfield. Le président José Ramon Feijoo n’est pas opposé au transfert en France de son joueur vedette, le différend vient plutôt du fait que depuis une semaine il négocie discrètement avec ses homologues du club espagnol du Grenade CF.

L’union annonce « un grand joueur » !

Finalement, l’offre rémoise va faire la différence car – en accord avec Robert Marion qui n’assiste pas à l’entrevue – Rafael Santos propose que le prix du transfert soit réglé dès l’arrivée du joueur à Reims. Un argument fort qui va permettre à Velez de disposer des fonds pour recruter le successeur de sa star. L’affaire est conclue.

À Reims, Henri Germain se frotte les mains. Le président sait à quel point Carlos Bianchi est la « valeur sûre » au sein du trio d’Argentins déjà au club : Laraignée, Onnis et Zywica. S’il va falloir faire un peu de ménage dans l’effectif – les clubs n’ont droit qu’à deux étrangers sur les feuilles de match de D1 – ce n’est pour l’instant son souci prioritaire.

Cesar-Auguste Laraignée, qui a joué en sélection avec Carlos Bianchi, l’a rassuré sur les valeurs humaines de son compatriote. Mais pour avoir l’esprit tout à fait tranquille avant de partir en vacances, le président stadiste souhaiterait voir à l’œuvre son nouveau protégé.

Le 5 juin, L’union annonce l’arrivée imminente d’un futur grand, en préambule du match amical de prestige disputé entre Reims et Benfica Lisbonne. Ceux qui le verront en action le 16 juin contre le FC Bâle (4-1, 2 buts) et le 19 juin contre le Servette Genève (4-1, 2 buts) en seront persuadés : avec ce Bianchi-là, le Stade de Reims tient de l’or en barre.

Bizarre un article complet de L’Union reproduit

A certains ,on supprime une telle copie qui est soit disant en contradiction avec l’éthique du forum.
A d’autres on les bannit d’une telle outrance

Et là , aucune réaction du pseudo garant d’une charte à géométrie variable.

On vient faire chi** certains quand ils ne sont pas dans le périmètre du sujet à la virgule près ( exemple le calendrier) et le même inquisiteur participe aux messages hors sujet du sujet saison 2023-2024
Chapeau l’artiste , quant à la partialité de vos décisions.
 
  Top
Ceranninho
Ecrit le: Sunday 02 July 2023, 13:57


Milou


Messages: 26106
39 ans
Sexe : Masculin
Supporter depuis 1998/1999
Supporter en Lombardie




Ok ouin ouin
 
     Top
ERIC.B
Ecrit le: Sunday 02 July 2023, 14:36


Vénérable ancien


Messages: 6397
61 ans
Sexe : Masculin
Supporter depuis 1970
Supporter en Méano




CITATION (C.THOMAS @ Sunday 02 July 2023, 12:47)
CITATION (ERIC.B @ Monday 19 June 2023, 18:52)
Football - Il y a 50 ans, Carlos Bianchi débarquait au Stade de Reims !

Il y a 50 ans, l’attaquant argentin Carlos Bianchi débarquait dans la Marne grâce au savoir-faire du recrutement rouge et blanc, symbolisé par le discret et efficace Robert Marion.

l y a 50 ans, Robert Marion rentrait d’un voyage en Argentine avec le sentiment du devoir accompli. Le trésorier-recruteur du Stade de Reims était accompagné d’un buteur argentin, Carlos Bianchi, 24 ans, appelé à remplacer un autre au passeport italien, Delio Onnis, 25 ans.

Le 16 juin 1973, le public de Delaune allait découvrir la vedette sud-américaine à l’occasion de la Coupe des Alpes face au FC Bâle et au Servette de Genève. En deux matches, la recrue arrivée de l’Atlético de Vélez Sarsfield allait inscrire deux doublés. La légende Bianchi était en marche.

En s’envolant pour le continent sud-américain, Robert Marion s’est vu confier un ordre de mission clair et précis. Il s’agit de trouver le remplaçant de Delio Onnis qui, malgré un grand nombre de buts inscrits depuis son arrivée dans la cité des sacres en septembre 1971 (39 buts en 65 matches de Division 1), ne fait pas l’unanimité avec son profil trop exclusivement « renard des surfaces ». Grâce à l’aide financière conséquente d’une municipalité espérant voir renaître le prestige de la ville à travers un club à vocation européenne, le président Henri Germain veut dénicher un attaquant complet.

Sur place, en Argentine, Robert Marion retrouve Rafael Santos. Cet intermédiaire est un ancien joueur du championnat de France entre 1962 et 1972 (Nantes, Nice, Avignon, Cannes). Son passé d’attaquant lui a permis de viser juste : Carlos Bianchi, insatiable buteur de Velez Sarsfield, qui aspire plus que jamais à jouer à l’étranger. Les deux hommes ont commencé à discuter mais Bianchi veut rencontrer un dirigeant avant de s’engager. C’est la raison du voyage de Robert Marion à Buenos Aires. Comme le précise le joueur, les discussions ne sont ni longues, ni compliquées. Marion est d’autant plus enclin à valider les demandes de Bianchi que ce dernier réussit sous ses yeux un triplé contre San Lorenzo (4-1).

En outre, ses exigences sont accessibles à un Stade de Reims bénéficiant de la fermeture des frontières italiennes et de la timide réouverture de la Liga espagnole aux joueurs étrangers (à cette époque-là, le football anglais ne s’intéresse pas encore au reste du monde).

Toutefois, les échanges se tendent un peu lorsqu’il s’agit de trouver un accord définitif avec les dirigeants de Velez Sarsfield. Le président José Ramon Feijoo n’est pas opposé au transfert en France de son joueur vedette, le différend vient plutôt du fait que depuis une semaine il négocie discrètement avec ses homologues du club espagnol du Grenade CF.

L’union annonce « un grand joueur » !

Finalement, l’offre rémoise va faire la différence car – en accord avec Robert Marion qui n’assiste pas à l’entrevue – Rafael Santos propose que le prix du transfert soit réglé dès l’arrivée du joueur à Reims. Un argument fort qui va permettre à Velez de disposer des fonds pour recruter le successeur de sa star. L’affaire est conclue.

À Reims, Henri Germain se frotte les mains. Le président sait à quel point Carlos Bianchi est la « valeur sûre » au sein du trio d’Argentins déjà au club : Laraignée, Onnis et Zywica. S’il va falloir faire un peu de ménage dans l’effectif – les clubs n’ont droit qu’à deux étrangers sur les feuilles de match de D1 – ce n’est pour l’instant son souci prioritaire.

Cesar-Auguste Laraignée, qui a joué en sélection avec Carlos Bianchi, l’a rassuré sur les valeurs humaines de son compatriote. Mais pour avoir l’esprit tout à fait tranquille avant de partir en vacances, le président stadiste souhaiterait voir à l’œuvre son nouveau protégé.

Le 5 juin, L’union annonce l’arrivée imminente d’un futur grand, en préambule du match amical de prestige disputé entre Reims et Benfica Lisbonne. Ceux qui le verront en action le 16 juin contre le FC Bâle (4-1, 2 buts) et le 19 juin contre le Servette Genève (4-1, 2 buts) en seront persuadés : avec ce Bianchi-là, le Stade de Reims tient de l’or en barre.

Bizarre un article complet de L’Union reproduit

A certains ,on supprime une telle copie qui est soit disant en contradiction avec l’éthique du forum.
A d’autres on les bannit d’une telle outrance

Et là , aucune réaction du pseudo garant d’une charte à géométrie variable.

On vient faire chi** certains quand ils ne sont pas dans le périmètre du sujet à la virgule près ( exemple le calendrier) et le même inquisiteur participe aux messages hors sujet du sujet saison 2023-2024
Chapeau l’artiste , quant à la partialité de vos décisions.

Franchement, je te conseille une visite chez un psy.
Je sais que tu n'es pas responsable de ton état, et je ne t'en veux pas. Fais-le pour toi, ta famille, tes amis, si tu en as !
Ton état empire.......prends en conscience !
Et reviens-nous guéri, et avec un peu d'empathie pour ton prochain !
Tu verras, le monde va te sembler plus beau !
 
     Top
thecityhunter
Ecrit le: Wednesday 05 July 2023, 09:57


Grand Maître Stadiste


Messages: 4067
44 ans
Sexe : Masculin
Supporter depuis 1996
Supporter en Batteux abonné




CITATION (C.THOMAS @ Sunday 02 July 2023, 12:47)
CITATION (ERIC.B @ Monday 19 June 2023, 18:52)
Football - Il y a 50 ans, Carlos Bianchi débarquait au Stade de Reims !

Il y a 50 ans, l’attaquant argentin Carlos Bianchi débarquait dans la Marne grâce au savoir-faire du recrutement rouge et blanc, symbolisé par le discret et efficace Robert Marion.

l y a 50 ans, Robert Marion rentrait d’un voyage en Argentine avec le sentiment du devoir accompli. Le trésorier-recruteur du Stade de Reims était accompagné d’un buteur argentin, Carlos Bianchi, 24 ans, appelé à remplacer un autre au passeport italien, Delio Onnis, 25 ans.

Le 16 juin 1973, le public de Delaune allait découvrir la vedette sud-américaine à l’occasion de la Coupe des Alpes face au FC Bâle et au Servette de Genève. En deux matches, la recrue arrivée de l’Atlético de Vélez Sarsfield allait inscrire deux doublés. La légende Bianchi était en marche.

En s’envolant pour le continent sud-américain, Robert Marion s’est vu confier un ordre de mission clair et précis. Il s’agit de trouver le remplaçant de Delio Onnis qui, malgré un grand nombre de buts inscrits depuis son arrivée dans la cité des sacres en septembre 1971 (39 buts en 65 matches de Division 1), ne fait pas l’unanimité avec son profil trop exclusivement « renard des surfaces ». Grâce à l’aide financière conséquente d’une municipalité espérant voir renaître le prestige de la ville à travers un club à vocation européenne, le président Henri Germain veut dénicher un attaquant complet.

Sur place, en Argentine, Robert Marion retrouve Rafael Santos. Cet intermédiaire est un ancien joueur du championnat de France entre 1962 et 1972 (Nantes, Nice, Avignon, Cannes). Son passé d’attaquant lui a permis de viser juste : Carlos Bianchi, insatiable buteur de Velez Sarsfield, qui aspire plus que jamais à jouer à l’étranger. Les deux hommes ont commencé à discuter mais Bianchi veut rencontrer un dirigeant avant de s’engager. C’est la raison du voyage de Robert Marion à Buenos Aires. Comme le précise le joueur, les discussions ne sont ni longues, ni compliquées. Marion est d’autant plus enclin à valider les demandes de Bianchi que ce dernier réussit sous ses yeux un triplé contre San Lorenzo (4-1).

En outre, ses exigences sont accessibles à un Stade de Reims bénéficiant de la fermeture des frontières italiennes et de la timide réouverture de la Liga espagnole aux joueurs étrangers (à cette époque-là, le football anglais ne s’intéresse pas encore au reste du monde).

Toutefois, les échanges se tendent un peu lorsqu’il s’agit de trouver un accord définitif avec les dirigeants de Velez Sarsfield. Le président José Ramon Feijoo n’est pas opposé au transfert en France de son joueur vedette, le différend vient plutôt du fait que depuis une semaine il négocie discrètement avec ses homologues du club espagnol du Grenade CF.

L’union annonce « un grand joueur » !

Finalement, l’offre rémoise va faire la différence car – en accord avec Robert Marion qui n’assiste pas à l’entrevue – Rafael Santos propose que le prix du transfert soit réglé dès l’arrivée du joueur à Reims. Un argument fort qui va permettre à Velez de disposer des fonds pour recruter le successeur de sa star. L’affaire est conclue.

À Reims, Henri Germain se frotte les mains. Le président sait à quel point Carlos Bianchi est la « valeur sûre » au sein du trio d’Argentins déjà au club : Laraignée, Onnis et Zywica. S’il va falloir faire un peu de ménage dans l’effectif – les clubs n’ont droit qu’à deux étrangers sur les feuilles de match de D1 – ce n’est pour l’instant son souci prioritaire.

Cesar-Auguste Laraignée, qui a joué en sélection avec Carlos Bianchi, l’a rassuré sur les valeurs humaines de son compatriote. Mais pour avoir l’esprit tout à fait tranquille avant de partir en vacances, le président stadiste souhaiterait voir à l’œuvre son nouveau protégé.

Le 5 juin, L’union annonce l’arrivée imminente d’un futur grand, en préambule du match amical de prestige disputé entre Reims et Benfica Lisbonne. Ceux qui le verront en action le 16 juin contre le FC Bâle (4-1, 2 buts) et le 19 juin contre le Servette Genève (4-1, 2 buts) en seront persuadés : avec ce Bianchi-là, le Stade de Reims tient de l’or en barre.

Bizarre un article complet de L’Union reproduit

A certains ,on supprime une telle copie qui est soit disant en contradiction avec l’éthique du forum.
A d’autres on les bannit d’une telle outrance

Et là , aucune réaction du pseudo garant d’une charte à géométrie variable.

On vient faire chi** certains quand ils ne sont pas dans le périmètre du sujet à la virgule près ( exemple le calendrier) et le même inquisiteur participe aux messages hors sujet du sujet saison 2023-2024
Chapeau l’artiste , quant à la partialité de vos décisions.

tu ferais bien de faire profil bas au vu de ton passif.
 
     Top
24 réponses depuis le Thursday 09 July 2020, 12:21 Suivre ce sujet | Envoyer ce sujet | Imprimer ce sujet
Pages: (2) 1 [2] 
<< Retour vers Rétro - La petite histoire du Stade

 



Cet espace d'échange indépendant est libre de tout lien avec la SASP Stade de Reims